« Tout ce que nous venons de dire est bien triste, mais ce n'est que l'ombre de l'indescriptible réalité, si jamais le fléau tant redouté d'une guerre entre grandes nations devait se produire, ce dont la seule possibilité oblige les peuples à vivre armés, sous le cauchemar d'une attaque aérienne. Des mesures efficaces s'imposent pour empêcher absolument la guerre aérienne, même dans le cas où, malgré toutes les conventions, on en viendrait aux armes. C'est le minimum nécessaire si l'on ne veut pas la ruine totale des peuples. Il est temps d'y penser. Plus tôt ce sera, mieux cela vaudra. ». — L'Observatore Romano, organe du Vatican, 31 août 1931.