« Un instant, Bertrand ! » On nous affirme, — mais il serait peut-être difficile de le prouver, — que cette plaisanterie aurait pris naissance aux représentations des Rendez-vous bourgeois, le charmant opéra-comique d'Hoffmann, musique de Nicolo, représenté le 9 mai 1807.
On ne trouve rien de semblable dans la pièce imprimée, mais il est de tradition que le papa Dugravier, dans la scène où il se croit assailli par des voleurs, adresse cette apostrophe à son fidèle serviteur Bertrand.