«... Une duègne, affreuse compagnonne, Dont le menton fleurit et dont le nez trognonne. » Victor Hugo. Ruy Blas (1838) ; acte IV, scène VII, rôle de don César de Bazan.
On a supposé, peut-être sans raison sérieuse, qu'en écrivant ce vers Victor Hugo avait pensé à un M. Trognon, ancien précepteur et secrétaire des commandements du prince de Joinville. (Voy. Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, t. I, p. 149.)