« Mon siège est fait. » D'après des renseignements particuliers, dont la source nous paraît sérieuse, voici quelle serait la véritable explication de la réponse de l'abbé de Vertot : il aurait voulu se débarrasser d'importuns qui, sous prétexte de l'aider à compléter son récit, n'avaient d'autre but que d'y voir leurs noms figurer. Il fit ainsi des mécontents, qui ne manquèrent pas de donner à sa réponse une interprétation malveillante.